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13 juillet 2013 6 13 /07 /juillet /2013 01:54

J'avais vu il y a quelques jours un dauphin qui volait plus haut qu'un oiseau ce qui est pour le moins peu commun.

Exercice de haut vol, la cerise sur le gâteau.

Et aujourd'hui, j'ai vu encore plus fort. Deux dauphins tachetés survolant les nuages !!!

Et sans filet ni parachute. Du très très haut niveau !

Exercice de haut vol, la cerise sur le gâteau.

Ces deux individus sont venus des profondeurs à toute vitesse et se sont propulsés à 4 ou 5 mètres de haut. La scène s'est déroulée à environ 10 mètres du bateau et le hasard à fait que c'était juste en face de moi. Ce genre d'évènement est totalement imprévisible. Cela aurait pu se produire dans mon dos et je n'aurais entendu que le "plouf" de fin de spectacle. Cela se déroule très vite même si plus c'est haut et plus ça dure longtemps. J'ai eu la chance que mon zoom ne soit pas réglé au maximum de sa longueur focale (300 mm), réglage le plus fréquent, car j'aurais été trop près et je n'aurais pas eu le temps de modifier ce réglage. C'est venu tellement rapidement que je n'ai pas pu saisir la phase ascendante et la première image de la séquence correspond à l'apogée de cette belle figure.

Voici la séquence des images que j'ai pu prendre à la volée.

© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel

© Marc Perrussel

Et ce sont des animaux libres, dans leur milieu naturel qui nous offrent un tel spectacle, pas de ces prisonniers d'aquarium dressés et forcés à faire des pitreries dans le seul but de rapporter de l'argent.

Laissons les donc vivre leur vie dans les mers et les océans, laissons les faire leurs acrobaties comme ils veulent et quand ils en ont envie, même s'il n'y a pas de spectateur. Juste pour leur propre plaisir.

N'ALLEZ PAS VOIR LES ANIMAUX EN CAPTIVITÉ, NI DANS LES MARINELAND NI DANS LES CIRQUES. LEURS CONDITIONS DE DÉTENTION SONT INJUSTES ET HONTEUSES.

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 01:05

Déjà six semaines à quai à Horta. Le temps passe vraiment vite.

J'avais prévu de prendre la direction de l'Europe continentale la première semaine de juillet et... je suis toujours là. Pas moyen de me résoudre à larguer les amarres. Ce n'est pas nouveau que j'aime bien Horta et que je m'y sente bien. Mais surtout comment envisager de quitter Pedro, son équipe et les cétacés ?

Pratiquement tous les jours, je vais une à deux fois en mer (3h30 à 4h à chaque sortie) autour des îles de Faïal et Pico à la rencontre des baleines, principalement des cachalots, et des dauphins. Nous emmenons des touristes qui ont donc la possibilité, la chance, de pouvoir admirer de très près ces animaux magiques.

hortacetaceos.com
hortacetaceos.com

hortacetaceos.com

Nous n'allons pas chercher les animaux au petit bonheur la chance.

Hier on m'a demandé où se trouvait exactement les dauphins. J'ai répondu qu'en général on les trouve dans l'eau. Ici, aux Açores et nulle part ailleurs, on utilise toujours la même méthode que lorsque la chasse au cachalot était autorisée, il y a des vigies en poste à terre, à des points stratégiques des côtes. Ces quelques hommes passent les journées entières à observer avec de puissantes jumelles la surface océanique pour repérer le souffle du cachalot, celui d'une autre baleine ou la présence de bancs de dauphins. Si les conditions de visibilité sont très bonnes, ils peuvent dire si c'est cachalot ou un rorqual commun qu'ils ont aperçu à 15 milles (27 kilomètres). Leur rôle est donc absolument essentiel.

Les informations obtenues sont transmises aux bateaux et, une fois sortis du port, le radio guidage commence.

Une fois arrivé à proximité de l'endroit où ont été vus les animaux, c'est à l'équipage de jouer en scrutant la surface sur 360° pour apercevoir un souffle ou des ailerons de dauphins. Pas toujours évident selon la luminosité. Parfois ce sont les clients qui trouvent les premiers.

Les cachalots ne restent pas toujours en surface, ils plongent pour aller chercher leur nourriture, des calmars géants, et la durée d'immersion est au minimum de 30-35 minutes et jusqu'à une heure et demi pour les plus grands mâles. Petite précision, ces géants de la mer peuvent plonger jusqu'à deux mille mètres. Pour repérer leurs proies, pas question d'utiliser la vue car il fait rapidement tout noir sous l'eau. Il utilise donc un système d'écholocation, une espèce de sonar. Ils émettent des "clics" sonores dont ils reçoivent un écho lorsque ces sons rencontrent quelque chose.

Quand nous les voyons pas en surface, nous utilisons un hydrophone directionnel, un micro dans une parabole, que nous mettons dans l'eau pour capter les "clics" et Pedro, écouteurs sur les oreilles, peut dire combien il y a de cachalots et dans quelle direction ils se trouvent par rapport à nous.

C'est un outil très très utile dont nous disposons depuis deux semaines seulement. Nous avons modifié un hydrophone qui ne nous donnait pas la direction en un modèle directionnel beaucoup plus efficace. ça a un aspect un peu bricolé (on m'appelle ici dorénavant Marc Gyver, allez savoir pourquoi...) mais ça fonctionne très bien.

notre hydropnone magique
notre hydropnone magique
notre hydropnone magique
notre hydropnone magique

notre hydropnone magique

Hier après midi nous avions à bord deux familles françaises, 4 adultes et 5 enfants. Je ne vous dis pas l'ambiance à bord ! La mer étant un peu agitée, c'était un du style fête foraine, le grand huit et la chenille réunis. Et lorsque le cachalot a montré son imposante nageoire caudale quand il a plongé, cris et applaudissements pour tout le monde.

Horta, île de Faïal

Puis un grand groupe de dauphins communs, plus d'une centaine, sont venus envahir l'océan autour de nous, certains pratiquement à toucher le bateau, d'autres à effectuer de formidables bonds dans les airs. Je peux vous assurer que les enfants n'étaient pas les seuls à s'extasier devant le spectacle, parents et équipage n'étaient pas en reste. Devant la joie de ces enfants (et de leurs parents), je pense que le plus heureux de tous devait être Pedro. Il faut dire qu'il a vraiment fait tout ce qui était possible pour trouver les cachalots dans des conditions difficiles. Et il les a trouvés. Une des petites filles m'a dit : "je ne suis pas prête d'oublier cette journée ! Au début, je me suis dit que c'était pas gagné de trouver les cachalots." Je lui ai confié que moi aussi au début je pensais que ce n'était pas gagné. Mais Pedro était là !

Chaque sortie est différente. On ne sait jamais avec quel butin visuel on va rentrer. Il y a des jours où on gagne le jackpot en voyant dans de bonnes conditions 6 à 7 espèces différentes de mammifères marins dont plusieurs cachalots (18 lors de ma deuxième sortie !) et d'autres jours où, allez savoir pourquoi, le bilan est moins "majestueux" avec aucun cachalot et "seulement" une ou deux espèces de dauphins. Le "seulement" n'a rien de négatif, la rencontre avec les dauphins est toujours un moment intense.

Horta, île de Faïal
Horta, île de Faïal
Horta, île de Faïal

Une autre activité est la nage avec les dauphins. Elle est autorisée avec seulement cinq espèces de dauphins et réellement possible avec seulement trois d'entre elles : dauphins communs, grands dauphins et dauphins tachetés.

Après avoir étudié le comportement du groupe de dauphins et s'être assuré qu'il n'y a pas de très jeunes animaux, Pedro met son bateau en position favorable pour s'assurer que les nageurs (avec masque, tuba et palmes) vont bien voir les dauphins. pas plus de deux personnes en même temps dans l'eau. Et, souvent en fonction du comportement des nageurs, les dauphins restent autour du bateau, spectacle subaquatique assuré. Les sourires qui s'affichent sur les visages à la sortie de l'eau en disent long sur les sentiments retirés de l'expérience. Quand ce ne sont pas les larmes... Séquence émotion.

Horta, île de Faïal
Horta, île de Faïal
Horta, île de Faïal
Horta, île de Faïal
Horta, île de Faïal

Alors pourquoi ne pas prolonger mon séjour ici avec tous ces amis terriens et aquatiques ?

Et tout de même une grosse pensée pour ma chère amie Rosalie ainsi que Cédric que je devais retrouver en Espagne. Je leur fais faux bond, j'espère qu'ils ne m'en tiendront pas rigueur trop longtemps. Dommage que le sillage de leur bateau ne les mène pas ici, ça aurait été vraiment top.

©Marilia Olio

©Marilia Olio

Horta, île de Faïal

© Marc Perrussel

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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 23:38

Peut-être avez vous déjà lu "L'histoire de la mouette et du chat qui lui a appris à voler", merveilleux petit livre de Luis Sepulveda. Si ce n'est pas le cas, je vous le conseille fortement, un pur régal !

Ici dans les eaux açoriennes, ou plutôt au dessus, on pourrait écrire "L'histoire du puffin cendré et du dauphin qui lui a appris à voler".

Exercice de haut vol

Par ailleurs, si les pingouins et autres manchots qui sont des oiseaux se débrouillent très bien dans l'eau, les dauphins ne sont pas mal du tout dans les exercices aériens.

Les champions toutes catégories étant, à mon avis, les dauphins bleu et blanc.

© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel

© Marc Perrussel

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 20:18
Ce sont des dauphins tachetés de l'Atlantique. On ne leur en voudra pas pour ce retard, ils ont une bonne excuse, ils viennent juste d'arriver cette semaine des Caraïbes où ils ont passé l'hiver.
Ce sont des dauphins tachetés de l'Atlantique. On ne leur en voudra pas pour ce retard, ils ont une bonne excuse, ils viennent juste d'arriver cette semaine des Caraïbes où ils ont passé l'hiver.

Ce sont des dauphins tachetés de l'Atlantique. On ne leur en voudra pas pour ce retard, ils ont une bonne excuse, ils viennent juste d'arriver cette semaine des Caraïbes où ils ont passé l'hiver.

©Marc Perrussel

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22 juin 2013 6 22 /06 /juin /2013 22:50

Pas encore de bébé cachalot inscrit à la crèche, espérons que ça viendra.

© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
© Marc Perrussel

© Marc Perrussel

Globicéphale, Dauphin de Risso, Dauphin commun, Dauphin bleu et blanc

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 01:28

Comme je crains un peu que vous vous lassiez des petites et grosses bêtes rencontrées sous la surface de l'océan, j'ai levé mes yeux dans le bleu du dessus, il y a aussi de belles choses à voir.

Puffin cendré

© Marc Perrussel

© Marc Perrussel

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16 juin 2013 7 16 /06 /juin /2013 13:21

A la demande générale et unanime de ma copine Marie, je ne peux évidemment pas le lui refuser, voilà encore des photos de dauphins, sujet inépuisable.

Et un immense merci à mon ami Pedro qui me permet de les admirer de près et si souvent.

Allez voir son site internet, il y des photos et aussi de belles vidéos sous marines.

www.hortacetaceos.com

Facebook : hortacetaceos

Plusieurs espèces de dauphins fréquentent les eaux açoriennes : dauphin commun (delphinus delphis), grand dauphin (tursiops truncatus), dauphin de Risso (grampus griseus) , globicéphale (globicephala melas), dauphins tachetés (stenella frontalis).

On en rencontre l'une ou plusieurs espèces pratiquement à chaque sortie en mer, souvent en groupe de plusieurs dizaines si ce n'est plusieurs centaines. Quel immense plaisir de naviguer au milieu des dauphins communs !!! A droite, à gauche, devant, derrière, il arrivera bien une fois où il y en aura un qui sautera au dessus du bateau ou même tombera dans le bateau.

Chaque sortie est différente, on ne sait jamais ce qu'on va rencontrer, le plaisir de la découverte éternellement renouvelé. Quand je pense qu'un matin, lors de la traversée Est Ouest de l'Atlantique, quand je me suis réveillé, mon équipière m'a dit que juste avant il y avait plein de dauphins autour du bateau. Et lorsque je lui ai dis qu'elle aurait dû me réveiller elle m'a répondu : "mais tu en as déjà tellement vu que ce n'était pas la peine que je t'appelle." Mais non, lui ai-je dit, à chaque fois c'est nouveau, c'est toujours comme si c'était la première fois.

Et même si ce n'est qu'un seul individu, même un soit disant "commun", ça met du soleil dans ma journée, toute la journée et même la nuit suivante.

Le dauphin, c'est une machine à mettre le sourire sur tous les visages et du bonheur dans tous les esprits.

Pas vrai, Marie ?

Ils sont vraiment porteurs d'images positives, joie de vivre, liberté, vie sociale, etc... J'avais écrit dans un article précédent ("Petit matin calme" 2 juillet 2011) qu'ils représentaient pour moi l'image de la perfection.

Certains ont toujours l'air de sourire comme le grand dauphin, la bonne humeur apparente perpétuelle.

Il y a sûrement d'autres raisons qui font qu'ils nous paraissent si sympathiques, si attrayants.

Hélas cela ne leur est pas toujours favorable, tous ces beaux aspects amènent beaucoup d'entre eux à la captivité dans les parcs aquatiques, qu'ils s'appellent seaworld ou marineland ou autres.

Qu'est qu'ils ont fait pour mériter de se retrouver en milieu carcéral car c'est bien d'emprisonnement qu'il s'agit ? Condamnés à perpétuité pour la faute grave d'être sympathiques ?

Et même si on essaie de nous faire croire qu'ils ne sont pas malheureux dans ces bassins artificiels de dimensions forcément réduites comparés à leur milieu naturel, il n'y a qu'à les voir "jouer", réussir des prouesses acrobatiques, toujours avec le même sourire donc heureux, il faut le dire, le répéter, le faire savoir, ils ne sont pas heureux dans de telles conditions de vie, leur espérance de vie est considérablement réduite par rapport à une vie normale en liberté. Ils survivent bien souvent grâce à des traitements médicamenteux, victimes de maladies. Et quand l'un deux meurt, parfois d'ennui, il est vite remplacé par un autre (qui verrait la différence ?) prélevé dans la nature. Et pour un animal qui arrive dans ces parcs, combien sont capturés et meurent avant d'arriver dans ces prisons aquatiques ?

Tout cela pour offrir des spectacles de cirque avec des animaux qui ne sont que des fantômes de ce qu'ils sont réellement dans leur milieu naturel (comme les lions, tigres, et... dans les ménageries des cirques) et surtout tout cela pour un maximum de profit financier car c'est la motivation principale.

Ce n'est pas pour rien que d'anciens "soigneurs" de dauphins captifs passent dans le camp de ceux qui veulent obtenir l'interdiction de la détention de cétacés dans ce genre d'endroits et la libération de ceux qui s'y trouvent actuellement.

Donc, si vous voulez admirer ces êtres merveilleux, ce n'est pas dans ces parcs d'attraction qu'il faut aller, surtout pas. Cela ne ferait qu'encourager à la persistance de l'existence, voire au développement, de ces prisons. Essayez donc d'avoir l'opportunité de venir dans des lieux comme les Açores pour ressentir l'émotion fabuleuse ressentie lors de ces rencontres ou bien contentez-vous de les apprécier sur les écrans de télévision ou d'ordinateur. Bien sûr ce n'est pas pareil, les sensations seront très différentes mais vous verrez des animaux libres qui ne demandent qu'une chose : qu'on les laisse vivre leur vie dans leurs grands espaces océaniques.

Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.

Dauphins communs (qui n'ont de commun que le nom). Je leur préfère la dénomnation latine : delphinus delphis. C'est comme si on les appelait deux fois "dauphin" tellement ils sont beaux. Ils sont colorés, vifs, toujours spectaculaires, ils aiment bien accompagner les bateaux, de vrais compagnons pour les navigateurs. On ne s'ennuie jamais quand ils sont là. Ils sont résident à l'année aux Açores.

Globicéphales. Ce sont de gros dauphins, en général en groupe plus ou moins nombreux. Parfois ils accompagnent un moment les bateaux comme cela m'était arrivé dans le golfe de Gascogne en octobre dernier. Ils sont migrateurs en principe et passent l'hiver dans les eaux de l'archipel des Canaries. Il semblerait que certains viennent de Méditerranée et d'autres seraient résidents aux Açores.
Globicéphales. Ce sont de gros dauphins, en général en groupe plus ou moins nombreux. Parfois ils accompagnent un moment les bateaux comme cela m'était arrivé dans le golfe de Gascogne en octobre dernier. Ils sont migrateurs en principe et passent l'hiver dans les eaux de l'archipel des Canaries. Il semblerait que certains viennent de Méditerranée et d'autres seraient résidents aux Açores.
Globicéphales. Ce sont de gros dauphins, en général en groupe plus ou moins nombreux. Parfois ils accompagnent un moment les bateaux comme cela m'était arrivé dans le golfe de Gascogne en octobre dernier. Ils sont migrateurs en principe et passent l'hiver dans les eaux de l'archipel des Canaries. Il semblerait que certains viennent de Méditerranée et d'autres seraient résidents aux Açores.

Globicéphales. Ce sont de gros dauphins, en général en groupe plus ou moins nombreux. Parfois ils accompagnent un moment les bateaux comme cela m'était arrivé dans le golfe de Gascogne en octobre dernier. Ils sont migrateurs en principe et passent l'hiver dans les eaux de l'archipel des Canaries. Il semblerait que certains viennent de Méditerranée et d'autres seraient résidents aux Açores.

Dauphins de Risso. Ils ont la particularité de naitre gris foncé puis, lors de contacts entre eux lorsqu'ils socialisent, ils se couvrent de cicatrices blanches qui donnent parfois l'impression qu'ils sont couverts de graffitis. Plus ils sont vieux et plus ils sont blancs, certains presque entièrement. Ils nagent souvent lentement en groupe assez nombreux et ne sont généralement pas attirés par les bateaux. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins de Risso. Ils ont la particularité de naitre gris foncé puis, lors de contacts entre eux lorsqu'ils socialisent, ils se couvrent de cicatrices blanches qui donnent parfois l'impression qu'ils sont couverts de graffitis. Plus ils sont vieux et plus ils sont blancs, certains presque entièrement. Ils nagent souvent lentement en groupe assez nombreux et ne sont généralement pas attirés par les bateaux. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins de Risso. Ils ont la particularité de naitre gris foncé puis, lors de contacts entre eux lorsqu'ils socialisent, ils se couvrent de cicatrices blanches qui donnent parfois l'impression qu'ils sont couverts de graffitis. Plus ils sont vieux et plus ils sont blancs, certains presque entièrement. Ils nagent souvent lentement en groupe assez nombreux et ne sont généralement pas attirés par les bateaux. Ils sont résident à l'année aux Açores.
Dauphins de Risso. Ils ont la particularité de naitre gris foncé puis, lors de contacts entre eux lorsqu'ils socialisent, ils se couvrent de cicatrices blanches qui donnent parfois l'impression qu'ils sont couverts de graffitis. Plus ils sont vieux et plus ils sont blancs, certains presque entièrement. Ils nagent souvent lentement en groupe assez nombreux et ne sont généralement pas attirés par les bateaux. Ils sont résident à l'année aux Açores.

Dauphins de Risso. Ils ont la particularité de naitre gris foncé puis, lors de contacts entre eux lorsqu'ils socialisent, ils se couvrent de cicatrices blanches qui donnent parfois l'impression qu'ils sont couverts de graffitis. Plus ils sont vieux et plus ils sont blancs, certains presque entièrement. Ils nagent souvent lentement en groupe assez nombreux et ne sont généralement pas attirés par les bateaux. Ils sont résident à l'année aux Açores.

Dauphins bleu et blanc. Eux, ce sont les speedy gonzales des dauphins. Ca fonce à toute vitesse, ça saute, ça gicle dans tous les sens, toujours très spectaculaires, pas faciles à photographier, surtout qu'ils ne viennent généralement pas près des bateaux. Bref, avec eux, c'est le grand show assuré à chaque instant. Ils sont migrateurs et passent l'hiver dans les Caraïbes.
Dauphins bleu et blanc. Eux, ce sont les speedy gonzales des dauphins. Ca fonce à toute vitesse, ça saute, ça gicle dans tous les sens, toujours très spectaculaires, pas faciles à photographier, surtout qu'ils ne viennent généralement pas près des bateaux. Bref, avec eux, c'est le grand show assuré à chaque instant. Ils sont migrateurs et passent l'hiver dans les Caraïbes.
Dauphins bleu et blanc. Eux, ce sont les speedy gonzales des dauphins. Ca fonce à toute vitesse, ça saute, ça gicle dans tous les sens, toujours très spectaculaires, pas faciles à photographier, surtout qu'ils ne viennent généralement pas près des bateaux. Bref, avec eux, c'est le grand show assuré à chaque instant. Ils sont migrateurs et passent l'hiver dans les Caraïbes.

Dauphins bleu et blanc. Eux, ce sont les speedy gonzales des dauphins. Ca fonce à toute vitesse, ça saute, ça gicle dans tous les sens, toujours très spectaculaires, pas faciles à photographier, surtout qu'ils ne viennent généralement pas près des bateaux. Bref, avec eux, c'est le grand show assuré à chaque instant. Ils sont migrateurs et passent l'hiver dans les Caraïbes.

© Marc Perrussel

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 01:08

Les Açores sont une des toutes meilleures destinations au monde pour rencontrer et observer les cétacés, dauphins et baleines, 24 espèces fréquentant les eaux qui baignent ces îles.

Cet archipel au milieu de l'Atlantique a une population de cétacés résidents à l'année, dauphins communs (delphinus delphis) et grands dauphins (tursiops truncatus) ainsi que de cachalots (physeter macrocephalus), les femelles et les jeunes uniquement, les mâles migrant vers le Nord en été. D'autres espèces passent entre ces îles sur leur route de migration et pour certaines c'est la destination de leur migration estivale.

Parmi ces espèces migratrices, sont particulièrement attendues, principalement entre mars et mai, les grandes baleines à fanons, baleine bleue (balaenoptera musculus), rorqual commun (balaenoptera physalus) et rorqual boréal (balaenoptera borealis).

A Horta il y a plusieurs compagnies qui amènent en mer les gens intéressés pour ces rencontres toujours magiques, observation et éventuellement nage avec les dauphins.

L'essence du voyage, c'est la rencontre et même si toutes ces personnes croisées sont importantes il en est qui font exception. Pedro fait partie de ces exceptions.

J'ai rencontré Pedro sur le quai, devant le kiosque de sa petite entreprise de randonnées en mer pour l'observation des baleines et dauphins. La conversation s'est engagée au sujet des... cétacés. Non, pas possible !!!!! Incroyable !!!!

Et puis, comme une évidence, nous sommes devenus amis. Mais Pedro, en plus de son expérience sur ces animaux qui sont sa passion, est surtout un monstre de gentillesse et de générosité. Avec sa petite équipe de biologistes marins, il fait le bonheur des gens qu'il emmène quotidiennement sur son grand zodiac semi-rigide en leur faisant partager expérience, connaissance et surtout passion. Il faut le voir à la barre de son bateau, exité comme un gamin devant son cadeau au pied du sapin à chaque fois qu'il voit une baleine ou un groupe de dauphins. Et pourtant il en a vus d'autres, mais c'est toujours comme si c'était la première fois. Et il est tellement heureux de montrer ces merveilles à un maximum de personnes.

Alors, si vous avez envie de venir aux Açores pour voir les cétacés, c'est avec lui qu'il faut aller, vous ne serez pas déçus, je vous le garantis.

Son site internet : hortacetaceos.com

Sa page facebook : Hortacetaceos

Comme promis, les cachalots.

Et maintenant Pedro a l'extrême gentillesse de m'emmener sur son bateau quand il y a une place libre. inutile de vous préciser à quel point cela me touche. Je suis donc presque tous les jours aux premières loges pour admirer baleines et dauphins. En échange, mes photos vont alimenter leur base de données pour l'identification des individus.

Voilà ce qu'on essaie de repérer, le souffle du cachalot. Il est caractéristique, c'est le seul qui est oblique et vers l'avant. La raison en est que son évent se trouve sur la gauche à l'avant de la tête. Les autres grandes baleines soufflent verticalement. Contrairement au cachalot qui a des dents, celles-ci ont des fanons qui leur permettent de filtrer l'eau et retenir la nourriture. Elles ont deux évents situés sur le dessus de la tête, d'où le souffle vertical. Pour le repérage, Pedro a deux vigies à terre équipées de jumelles à très fort grossissement qui lui indiquent où aller pour voir cétacés. Le principe est le même que lorsque le cachalot était intensément chassé autour des îles de Pico et Faïal. Si la visibilité est bonne, les vigies peuvent apercevoir les souffles jusqu'à plus de dix milles nautiques (près de 20 km). Leur travail est absolument indispensable, ils sont les yeux du bateau. Dès qu'un souffle ou un groupe de dauphins est repéré le guidage se fait par radio ou téléphone portable.
Voilà ce qu'on essaie de repérer, le souffle du cachalot. Il est caractéristique, c'est le seul qui est oblique et vers l'avant. La raison en est que son évent se trouve sur la gauche à l'avant de la tête. Les autres grandes baleines soufflent verticalement. Contrairement au cachalot qui a des dents, celles-ci ont des fanons qui leur permettent de filtrer l'eau et retenir la nourriture. Elles ont deux évents situés sur le dessus de la tête, d'où le souffle vertical. Pour le repérage, Pedro a deux vigies à terre équipées de jumelles à très fort grossissement qui lui indiquent où aller pour voir cétacés. Le principe est le même que lorsque le cachalot était intensément chassé autour des îles de Pico et Faïal. Si la visibilité est bonne, les vigies peuvent apercevoir les souffles jusqu'à plus de dix milles nautiques (près de 20 km). Leur travail est absolument indispensable, ils sont les yeux du bateau. Dès qu'un souffle ou un groupe de dauphins est repéré le guidage se fait par radio ou téléphone portable.

Voilà ce qu'on essaie de repérer, le souffle du cachalot. Il est caractéristique, c'est le seul qui est oblique et vers l'avant. La raison en est que son évent se trouve sur la gauche à l'avant de la tête. Les autres grandes baleines soufflent verticalement. Contrairement au cachalot qui a des dents, celles-ci ont des fanons qui leur permettent de filtrer l'eau et retenir la nourriture. Elles ont deux évents situés sur le dessus de la tête, d'où le souffle vertical. Pour le repérage, Pedro a deux vigies à terre équipées de jumelles à très fort grossissement qui lui indiquent où aller pour voir cétacés. Le principe est le même que lorsque le cachalot était intensément chassé autour des îles de Pico et Faïal. Si la visibilité est bonne, les vigies peuvent apercevoir les souffles jusqu'à plus de dix milles nautiques (près de 20 km). Leur travail est absolument indispensable, ils sont les yeux du bateau. Dès qu'un souffle ou un groupe de dauphins est repéré le guidage se fait par radio ou téléphone portable.

L'évent du cachalot.

L'évent du cachalot.

DIAPORAMA. Une fois à proximité du cachalot, nous pouvons l'observer plus ou moins longtemps, nous le voyons souffler en général plusieurs fois entre des plongées peu profondes puis il arque son dos et sa grande nageoire caudale sort de l'eau et s'élève majestueusement à la verticale avant de disparaitre sous la surface. C'est le moment tant attendu par tous tant ce spectacle est grandiose, inoubliable. Il s'en suit une grande plongée profonde pendant laquelle l'animal peut descendre jusqu'à près de deux mille mètres, oui, près de deux kilomètres sous la surface, pour aller se nourrir principalement de grands calmars. La durée de la plongée est en général au minimum de trente minutes pouvant aller au delà d'une heure.
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DIAPORAMA. Une fois à proximité du cachalot, nous pouvons l'observer plus ou moins longtemps, nous le voyons souffler en général plusieurs fois entre des plongées peu profondes puis il arque son dos et sa grande nageoire caudale sort de l'eau et s'élève majestueusement à la verticale avant de disparaitre sous la surface. C'est le moment tant attendu par tous tant ce spectacle est grandiose, inoubliable. Il s'en suit une grande plongée profonde pendant laquelle l'animal peut descendre jusqu'à près de deux mille mètres, oui, près de deux kilomètres sous la surface, pour aller se nourrir principalement de grands calmars. La durée de la plongée est en général au minimum de trente minutes pouvant aller au delà d'une heure.

DIAPORAMA. Une fois à proximité du cachalot, nous pouvons l'observer plus ou moins longtemps, nous le voyons souffler en général plusieurs fois entre des plongées peu profondes puis il arque son dos et sa grande nageoire caudale sort de l'eau et s'élève majestueusement à la verticale avant de disparaitre sous la surface. C'est le moment tant attendu par tous tant ce spectacle est grandiose, inoubliable. Il s'en suit une grande plongée profonde pendant laquelle l'animal peut descendre jusqu'à près de deux mille mètres, oui, près de deux kilomètres sous la surface, pour aller se nourrir principalement de grands calmars. La durée de la plongée est en général au minimum de trente minutes pouvant aller au delà d'une heure.

Mis à part la nageoire caudale, on voit rarement plus de l'animal que sur cette photo, sauf quand il arrive parfois que le cachalot saute entièrement hors de l'eau, ce que je n'ai encore jamais vu. Il faut imaginer que ce cétacé peut mesurer jusqu'à dix huit mètres de long et peser jusqu'à quarante tonnes. Par comparaison, un éléphant mâle adulte pèse cinq à six tonnes. Imposante la bête, non ?

Mis à part la nageoire caudale, on voit rarement plus de l'animal que sur cette photo, sauf quand il arrive parfois que le cachalot saute entièrement hors de l'eau, ce que je n'ai encore jamais vu. Il faut imaginer que ce cétacé peut mesurer jusqu'à dix huit mètres de long et peser jusqu'à quarante tonnes. Par comparaison, un éléphant mâle adulte pèse cinq à six tonnes. Imposante la bête, non ?

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Voici le genre de photo dont les biologistes ont besoin pour identifier les individus. La forme et les irrégularités de la queue sont uniques et en comparant avec d'autres photos il est possible de savoir si l'animal a déjà été vu à tel ou tel endroit.

Voici le genre de photo dont les biologistes ont besoin pour identifier les individus. La forme et les irrégularités de la queue sont uniques et en comparant avec d'autres photos il est possible de savoir si l'animal a déjà été vu à tel ou tel endroit.

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© Marc Perrussel

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 19:57

Les Açores, paradis des drogués des dauphins. En veux-tu, en voilà...

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Diaporama. © Marc Perrussel
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La prochaine fois, des cachalots. Promis.

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 18:45

L'océan est un immense désert, bien plus immense que le Sahara considéré comme La référence dans le domaine. C'est mon dixième jour en mer et depuis cinq ou six journées je suis totalement dans ce désert, seul, je n'ai vu rien d'autre que l'eau, le ciel, les nuages, quelques rares poissons volants faisant des concours de ricochets sur les vaguelettes à l'approche de ce monstre gris aux ailes blanches que doit représenter pour eux Vo lu mondu. L'immense surface bleue est par endroit envahie par les taches jaune orangées de paquets plus ou moins étendus de sargasses, ces algues qui ne vivent sur aucun autre support que l'eau salée de la mer à laquelle elles ont donné leur nom.

Le milieu magique

Plus un bateau, plus un oiseau, un désert, un vrai. Gigantesque surface sans limites visibles. Et pourtant, entre coup d’œil fugitifs et instants plus ou moins prolongés pendant lesquels mon regard parcourt, balaie le grand bleu, c'est durant des heures que mes yeux regardent sans regarder, observent sans observer. Vagabondage du regard. C'est le désert, je vous dis. Circulez, y a rien à voir.

Et puis un mouvement furtif, inhabituel, comme un éclair sombre, aimante mes pupilles puis mon esprit, les attirent hors de mon occupation du moment. Une faucille noire vient de trancher le presque miroir bleuté qui m'entoure en ce matin calme.

© Marc Perrussel

© Marc Perrussel

En une fraction de seconde mon cerveau essaie de corriger le résultat de cette trop brève observation. Vu la taille de l'animal, ce serait plutôt un globicéphale, mais non, impossible, la forme de l'aileron ne correspond pas du tout. Alors quoi ? Je vais ensuite avoir tout le temps de l'observer car ce cétacé est resté plus d'une heure très près du bateau, visiblement très intéressé par cette rencontre. J'ai rapidement identifié, cette fois avec certitude, que c'est une baleine de la famille des rorquals. Vu sa taille, environ sept mètres, il ne peut s'agir que du petit rorqual ou rorqual à museau pointu, balaenoptera acutarostrata, ce que ma documentation me confirmera.

Diaporama. © Marc Perrussel
Diaporama. © Marc Perrussel
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© Marc Perrussel
© Marc Perrussel
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A d'autres moments, juste rester le long de la coque, sa nageoire pectorale gauche effleurant presque la quille droite de Vo lu mondu, comme une tranquille promenade compagnie, faisant entendre périodiquement son souffle, air humide expulsé par ses deux évents, comme des profonds soupirs de bien-être.

Diaporama. © Marc Perrussel
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Diaporama. © Marc Perrussel
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Diaporama. © Marc Perrussel

Disparue. La voilà sûrement repartie sur sa route après un petit divertissement passager. Mais non, un bruit dans mon dos sur l'autre bord, juste le temps d'apercevoir ce corps fuselé, luisant au soleil, camaïeu de gris, pratiquement hors de l'eau, ses cinq tonnes retombant en éventrant la surface océanique dans un mélange de fracas, d'écume et d'éclaboussures.

Puis elle est repartie comme elle était venue, en douceur, discrètement, sans laisser d'autre trace que celle imprimée à jamais au plus profond de mon être. Merci.

Le milieu magique
Le milieu magique

"Le désert est beau. Ce qui embellit le désert, c'est qu'il cache un puits quelque part." écrivait Antoine de Saint Exupéry dans Le petit prince.

Pour le navigateur solitaire, la baleine, c'est le puits de l'océan.

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L'océan est beau. Ce qui embellit l'océan, c'est qu'il cache une baleine quelque part.

L'océan est beau. Ce qui embellit l'océan, c'est qu'il cache une baleine quelque part.

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"Seulement après que le dernier arbre a été coupé,
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Alors vas-y, plonge.
Plus tard tu découvriras que la perle et l'océan sont aussi en toi."
Philippe Pelen

Texte Libre

A consommer sans modération

"La vie c'est le truc qui passe pendant qu'on multiplie les projets."
John Lennon

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"Passer sa vie à cheminer le long d'une route droite, profondément encaissée entre de hauts talus, est faire médiocre usage des jours que le destin nous a accordés, tandis qu'ils peuvent être ensoleillés si l'on grimpe le talus pour flâner en liberté sur le vaste plateau qui le surmonte."
Alexandra David-Neel
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"7 heures du matin peut être. Je n'ai plus l'heure et je m'en moque."
Paul-Emile Victor
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"La seule chose dont on soit sûr à l'avance de l'échec, est celle que l'on ne tente pas."
Paul-Emile Victor
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"Je ne vois pas de délégation de nos Frères à quatre pattes.
Je ne vois pas de siège pour les Aigles.
Nous oublions et nous nous croyons supérieurs.
Mais nous ne sommes en fin de compte rien de plus qu'une partie de la Création. Et nous devons réfléchir pour comprendre où nous sommes situés.
Nous sommes quelque part entre la montagne et la fourmi.
Quelque part et seulement là comme une partie et parcelle de la Création."
Oren Lyons Iroquois Onondaga.
Extrait d'un appel aux organisations non gouvernementales des Nations Unies - Genève - Suisse - 1977.

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"La nature est lente mais sûre.
Elle ne travaille pas plus vite qu'elle n'a besoin de le faire.
Elle est la tortue qui remporte la course de la  persévérance."                                                                                                 

Henry David Thoreau
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"C'est une triste chose de penser que la nature parle et que le genre humain n'écoute pas."
Victor Hugo
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"Qu'est-ce qu'en général qu'un voyageur ? C'est un homme qui s'en va chercher un bout de conversation au bout du monde."
Barbay d'Aurevilly
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" Faites ce que vous êtes capables d'effectuer ou croyez pouvoir faire. L'audace est porteuse de génie, de pouvoir et de magie."
Goethe

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"Si la cruauté humaine s'est tant exercée contre l'homme, c'est trop souvent qu'elle s'était fait la main sur les animaux. Tout homme qui chasse s'endurcit pour la guerre."
Marguerite Yourcenar
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"Il faut sauver les condors. Pas tellement parce que nous avons besoin des condors, mais parce que nous avons besoin de développer les qualités humaines pour les sauver. Car ce seront celles-là mêmes dont nous aurons besoin pour nous sauver nous-mêmes."
Mac Millan, ornithologue du XIXe siècle
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